Le virus de la psychanalyse
Le masque
Je n’ai jamais aimé les masques, même les masques de Carnaval, sûrement parce qu’ils me coupent de l’autre, de mon rapport à l’autre. Ils sont des images figées d’un personnage souvent grotesque ou effrayant, censées faire rire, apeurer, éloigner, attirer, créer la surprise ou figurer la mort, qu’on retrouve dans presque toutes les traditions ou…
Lire la suiteÀ chacun sa pandémie
On savait que les épidémies existaient. Elles étaient peut-être restées confinées dans nosmémoires. On connaissait la peste, le choléra, la tuberculose, le typhus, la rougeole, lapolio, le SIDA, EBOLA, le SRAS aussi, dû à un autre coronavirus appelé SRAS-CoV,devenu épidémique en 2003 et touchant principalement l’Asie. Mais le COVID19surgit comme une pandémie qui nous plonge…
Lire la suiteEntre Charybde et Scylla
10ème jour de confinement, partie 1 « Mourir de honte » est le signifiant par lequel Lacan entamait sa dernière leçon du Séminaire L’envers de la psychanalyse : « Il faut le dire, mourir de honte est un effet rarement obtenu ». JAM, L’orientation lacanienne III, 4, 5 juin 20021 La honte2 m’envahit, cette…
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